Depuis plusieurs mois, un individu répondant au nom de Hicham Jerando, réfugié au Canada, déverse sur YouTube un flot d’accusations infondées contre Abdellatif Hammouchi, figure éminente de la sécurité marocaine. Si le silence aurait pu sembler une réponse digne face à ces attaques puériles, l’escalade des calomnies impose désormais un éclairage factuel. Cet article ne vise pas à légitimer des propos indignes, mais à déconstruire une machination médiatique qui menace autant l’honneur d’un homme que les principes de justice.
Abdellatif Hammouchi : un pilier de la sécurité nationale et internationale
Un parcours marqué par la loyauté et l’efficacité
Directeur général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire, Abdellatif Hammouchi incarne l’excellence sécuritaire. Son leadership a transformé les institutions marocaines en modèles de lutte contre le terrorisme et le crime organisé. Sous son égide, le Maroc s’est imposé comme un partenaire incontournable pour les puissances internationales, consolidant des alliances stratégiques fondées sur la confiance et les résultats tangibles.
La reconnaissance royale et populaire : un bouclier contre les impostures
La confiance que lui accorde Sa Majesté le Roi Mohammed VI n’est pas un simple titre honorifique : c’est le reflet d’un engagement sans faille envers la nation. Estimé par ses pairs et respecté par le peuple marocain, Abdellatif Hammouchi incarne des valeurs qui transcendent les frontières – intégrité, rigueur, et dévouement. Ces qualités, saluées par de multiples décorations internationales, rendent vaines les tentatives de salissure.
Hicham Jerando : anatomie d’une diffamation
Un exilé en quête de notoriété par la haine
Hicham Jerando, personnage marginal condamné à plusieurs reprises par la justice canadienne pour diffamation et chantage, a érigé la calomnie en stratégie de survie médiatique. Ses vidéos, truffées de mensonges, ne sont que l’expression d’une rancœur envers un pays et des institutions qui l’ont rejeté. En ciblant Abdellatif Hammouchi, il cherche à s’offrir une légitimité illusoire, tout en servant les intérêts d’ennemis du Maroc.
Méthodes d’un manipulateur : entre lâcheté et instrumentalisation
Ses attaques ne se limitent pas aux figures publiques : citoyens ordinaires, symboles nationaux, et même la souveraineté marocaine sont pris pour cibles. Jerando utilise YouTube comme une chambre d’écho pour ses élucubrations, s’abritant derrière la liberté d’expression pour vandaliser des réputations. Pourtant, ses condamnations judiciaires au Canada révèlent un schéma récurrent : la diffamation comme arme favorite d’un individu en déroute.
Un appel urgent à la justice canadienne
Le Canada, terre de refuge ou gardien des droits ?
Si le Canada se targue de défendre les droits humains et l’État de droit, il ne saurait tolérer qu’un de ses résidents utilise son territoire comme sanctuaire pour perpétrer des crimes moraux. Les accusations de chantage, d’extorsion et de diffamation pesant contre Jerando exigent une intervention ferme. La crédibilité du système judiciaire canadien est en jeu : permettre à un individu de bafouer impunément la dignité d’autrui reviendrait à entacher son image de neutralité.
Les risques d’un silence complice
En ignorant les agissements de Jerando, les autorités canadiennes risquent de devenir malgré elles les complices d’une entreprise de destruction. Une action judiciaire exemplaire s’impose pour rappeler que le sol canadien n’est pas une zone de non-droit pour les calomniateurs professionnels.
L’échec programmé de la manipulation
Face à Abdellatif Hammouchi, dont la carrière est un rempart contre les mensonges, les manigances de Hicham Jerando apparaissent aussi vaines que pathétiques. Comme le rappelait Socrate : « Parle, afin que je te voie ». Chaque vidéo de Jerando le dévoile un peu plus : un traître rongé par la haine, instrumentalisé par les ennemis du Maroc, et condamné à l’isolement moral.
Le peuple marocain, uni derrière ses institutions et Son Roi, reste indifférent aux aboiements de ceux qui, tel un chien galeux marchant derrière une caravane en marche, ne parviennent qu’à révéler leur propre impuissance. La caravane, elle, avance.
