samedi, avril 19, 2025

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Bien que le Maroc s’efforce de surmonter les conséquences de la crise affectant son système éducatif, des résultats encourageants commencent à se dessiner. Selon le classement de l’Indice AD des universités publiques pour 2025, l’Université Mohammed V de Rabat se distingue en prenant la première place à l’échelle nationale.

Avec une position de 23ᵉ au niveau africain et 983ᵉ mondialement, l’UM5 de Rabat illustre l’efficacité de ses stratégies de recherche. Ce n’est pas la première fois que l’université brille dans les classements internationaux.

Analyser 22 universités et instituts publics marocains révèle une amélioration significative de la qualité de la recherche scientifique et de l’enseignement supérieur. L’Université Cadi Ayyad de Marrakech suit de près, se plaçant deuxième au niveau national, 37ᵉ en Afrique et 1.314ᵉ au rang mondial.

L’Université Hassan II de Casablanca complète le podium national, se classant 40ᵉ en Afrique et 1.373ᵉ mondialement. D’autres établissements tels que l’Université Sidi Mohammed Ben Abdellah de Fès (49ᵉ en Afrique et 1.499ᵉ mondialement) et l’Université Ibn Zohr d’Agadir (cinquième au national, 69ᵉ en Afrique et 1.787ᵉ au niveau mondial) participent également au rayonnement des universités marocaines.

D’autres universités, comme l’Université Moulay Ismaïl de Meknès (6ᵉ au national, 90ᵉ en Afrique, 2.036ᵉ mondialement) et l’Université Ibn Tofaïl de Kénitra (7ᵉ au national, 102ᵉ en Afrique), montrent des performances notables. L’Université Abdelmalek Essaâdi de Tétouan se classe 8ᵉ (120ᵉ en Afrique, 2.424ᵉ mondialement), suivi de l’Université Mohammed Premier d’Oujda (9ᵉ au national, 124ᵉ en Afrique) et l’Université Chouaïb Doukkali (10ᵉ au national, 133ᵉ en Afrique).

Chaque région du Maroc démontre la qualité de ses institutions. Le rapport souligne que les universités ayant réussi à augmenter leur nombre de chercheurs performants ont vu leur classement s’améliorer. Par exemple, l’Université Hassan II de Casablanca a bénéficié de cette dynamique grâce à un nombre accru de citations et de publications scientifiques influentes. De même, l’Université Abdelmalek Essaâdi a fortifié son réseau de collaborations internationales.

À l’échelle mondiale, l’Université Harvard se distingue comme l’institution la plus influente, avec plus de 2.400 chercheurs dans différents domaines. L’Université de São Paulo au Brésil suit en second, profitant de la présence de 1.900 chercheurs, tandis que l’Université du Michigan continue de se hisser parmi les meilleures grâce à son excellence académique.

Les établissements américains dominent toujours les classements, avec l’Université Stanford en quatrième position et l’Université d’Oxford au Royaume-Uni à la cinquième place.

Cependant, le rapport signale que les universités marocaines doivent surmonter plusieurs défis, tels que l’augmentation des investissements dans la recherche scientifique et l’amélioration des conditions académiques, afin d’attirer des chercheurs et des étudiants internationaux. Il met aussi en exergue les inégalités entre les universités des zones urbaines et rurales, nécessitant des stratégies pour remédier à ces disparités.

En conclusion, l’amélioration du classement des universités est essentielle pour attirer des étudiants internationaux et renforcer les partenariats avec des institutions à l’échelle mondiale. Cette approche soutient la vision du Maroc d’améliorer l’enseignement supérieur et d’utiliser la recherche comme levier pour le développement économique et social. Il est anticipé que dans les années à venir, les classements des universités continueront de s’améliorer, surtout avec un accent sur les technologies et les sciences appliquées.

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